L’ASAC confirme la solidité de son assurance-vie

Entre prudence et audace, la gestion financière souhaitée par l’ASAC a joué en 2012 sur deux tableaux : la séparation des titres risqués d’un côté et l’investissement sur de nouvelles classes d’actifs de l’autre.
 

Répondant à la priorité de sécuriser les rendements du fonds en euros, l’ASAC a poursuivi le « dérisking » du portefeuille engagé depuis 2011. Dans ce cadre, les dettes des pays périphériques, en particulier les titres grecs, espagnols (obligations d’États et subordonnées BTP), irlandais et italiens (pour partie) ont été vendues.

Par ailleurs considérant la faiblesse des taux, l’ASAC a donné son accord à Allianz Investment Management (AIM) pour améliorer la diversification de son portefeuille obligataire et l’ouvrir aux obligations d’entreprises (corporate et high yield) ainsi qu’à des titres de dette de pays émergents.

La dernière orientation de gestion a concerné les placements en actions, cette fois-ci rationnalisés, plus flexibles et bien préparés à une reprise des marchés.

Le taux de rémunération obtenu par l’ASAC en 2012 sur son fonds en euros est de 3,25% nets de frais de gestion, hors prélèvement sociaux et fiscaux.
 

Ce formidable rendement, supérieur à la moyenne du marché, couronne la stratégie de son gestionnaire financier et place l’association en tête des acteurs français de l’assurance‐vie.

Suite à cette bonne performance 2012, l’actif cantonné ASAC sur le support en euros présente un résultat net cumulé sur 3 ans de 11,20% net de frais de gestion et hors fiscalité et contributions sociales. Sur 5 ans la performance s’établit à 20,83% et à 37,94% sur 8 ans.

Cette solidité est complétée par l’avantage commercial des contrats ASAC dont les frais sur les versements sont de 2 % et dégressifs et les frais de gestion annuels ne dépassent pas 0,36 % pour le fonds en euros et 0,60 % pour les unités de compte.